Pour la première fois, Washington, par la voix de la secrétaire d’État Hillary Clinton, a pointé du doigt une réalité que l’Occident et ses alliés qataris, saoudiens et turcs, de même que la presse étrangère dans son écrasante majorité, ont volontairement occultée :
l’islamisme, y compris dans sa version la plus radicale et la plus violente est en passe d’exercer son hégémonie sur l’opposition syrienne. (…)