Une quarantaine de surveillants de la maison d’arrêt de Villefranche se sont postés, ce lundi après-midi, devant tribunal de grande instance.
Selon les manifestants, les injures et les menaces proférées par les détenus à l’encontre du personnel pénitentiaire seraient « presque systématiquement classées sans-suite » par le parquet. Quant aux agressions, qui se sont multipliées la semaine dernière, elles ne seraient pas poursuivies comme les surveillants l’entendent, qui souhaiteraient que les plus graves soient qualifiées de « tentative d’homicide ».
Le Progrès
