Ce lundi 12 novembre 2012 a eu lieu sur les antennes de France Télévisions, en deuxième partie de soirée, un événement médiatique d’une importance considérable (bien que notre pays n’y ait pas prêté l’attention qu’il méritait) : la diffusion sur France 3, dans le cadre de l’émission Docs interdits, d’un reportage, intitulé “Les Ch’tis d’Allah – Le gang de Roubaix”, d’Olivier Pighetti, remarquable d’objectivité et de conscience professionnelle par la qualité de sa documentation.
Une véritable mais salutaire onde de choc au vu du conformisme ambiant sur ce sujet ! (…)
(…) Mais, attention, pas au sein de n’importe laquelle de ses divisions ! Non, dans sa brigade la plus férocement radicale et la plus violemment extrémiste : des fous d’Allah, regroupés sous le nom de “El Moudjahidin” et en contact direct avec “al-Qaida”, venus expressément d’Afghanistan, du Pakistan ou du Maghreb pour non seulement faire la peau, au prix des pires atrocités (qui effrayaient jusqu’aux vrais soldats bosniaques eux-mêmes), aux Serbes orthodoxes, jugés “infidèles“, mais, plus profondément encore, instaurer ainsi en Europe, via la Bosnie précisément, le premier État islamiste de son histoire !
(…) S’en étonnera-t-on vraiment, du reste, lorsque l’on sait que ce même Alija Izetbegovic, fondamentaliste musulman, écrivit, dans sa Déclaration islamique (parue, en 1970, à Istanbul, puis republiée, en 1990, à Sarajevo),
qu'”il n’y a pas de paix ni de coexistence entre la religion islamique et les institutions sociales et politiques non islamiques”. Une flagrante négation, cette affirmation, de l’une des valeurs suprêmes de nos sociétés modernes : la laïcité !
Et Izetbegovic, que certains des intellectuels les plus médiatisés ne cessèrent pourtant jamais d’encenser, d’ajouter ces mots funestes pour la sauvegarde de nos démocraties, sinon du sens de la fraternité entre les peuples :
“Avant le droit de gouverner lui-même et son monde, l’islam exclut clairement le droit et la possibilité de la mise en oeuvre d’une idéologie étrangère sur son territoire. Il n’y a donc pas de principe de gouvernement laïque, et l’État doit être l’expression et le soutien de concepts moraux de la religion.” (…)