L’Angleterre, ses beuveries et ses viols
Le ciel qui n’arrête pas de chialer, les façades lugubres de la banlieue dans les flaques d’eau. Et puis un groupe de femmes voilées, armées de poussettes garnies de braillards. Bienvenue à Rochdale, Angleterre occupée, 2012.
100 000 habitants dont un quart de musulmans.
Rochdale, ses kebabs, ses ados défoncés à coup de « binge drinking », sa traite des blanches à ciel ouvert.
Enoch Powell avait prévu « des rivières de sang » dans un avenir proche. Pour l’instant, les jeunes anglaises se contentent de torrents de foutre…
Dans un royaume au bord de la fracture ethnique, l’affaire crépite depuis deux ans sur les écrans plasma : au moins 47 jeunes filles, toutes blanches, ont servi de marchandise sexuelle à un gang de violeurs, tous musulmans. Exposées par les médias jusqu’à plus soif, les mines patibulaires des tristes sires rappellent à l’Anglais moyen la dure réalité : certaines de leurs villes sont pratiquement sous occupation étrangère, et visiblement, les nouveaux venus se gênent de moins en moins avec la femelle autochtone… […]
« Nos filles ne sont pas de la viande halal ! »