Fdesouche

[ Sur la situaton en cote d’Ivoire ] [Article de Cameroonvoice ][extraits]
La Cour Pénale Internationale et sa procureure en carton-pâte d’arachide, Fatou Bensouda, ont intimé l’ordre aux autorités de leur livrer Simone Gbagbo (…)

« L’optimisme béat du mouton-citoyen trépané par le mondialisme et ses sirènes chantant le métissage. »

Bensouda, négresse indigne appartenant à une espèce loin d’être en voie d’extinction, celle de l’ennemi objectif de l’Afrique, coopère en bonne intelligence avec l’autocrate président ivoirien. (…)
Ces analyses, qu’elles versent dans l’optimisme béat du mouton-citoyen trépané par le mondialisme et ses sirènes chantant le métissage, l’humanité une et uniforme (informe serait plus approprié), ou qu’elles versent dans la colère du pan-âne-fricain, analysant le monde selon le prisme déformant senghorien (la soi-disant émotivité nègre), au-delà d’être fondamentalement erronées, ne sont d’aucun secours pour comprendre et agir. (…)
Les enseignements tirés depuis plus de 60 ans n’empêchent pas les africains de se taper la tête contre les pans du même mur.

« Des entités bâtardes que l’on s’obstine à désigner comme étant des états.»

Que ce soit celui des conséquences du refus d’une réponse violente et méthodique, dirigée contre l’Occident et ses intérêts situés en Afrique, ou celui des conséquences de la tolérance envers les pantins installés à la tête des entités bâtardes que l’on s’obstine à désigner comme étant des états (…)
Il n’y a pas de négociation, d’entente ou de relation possible avec la France ou tout autre représentant de l’Occident en Afrique pour la simple raison que ne négocient entre eux que des égaux.
Nulle âme sensée ne se piquerait d’organiser une table ronde avec des ovins pour discuter des quotas d’abattage. Pourtant les chefs des entités bâtardes africaines, occupant la position de l’ovin sur la scène internationale, raffolent de la comédie de relations avec l’Occident qui seraient basées sur le respect de leurs pseudo-souverainetés. (…)
Il n’y a plus à disserter sur les solutions, nous les connaissons : le recours à la force par la mise à mal systématique et rationnelle des intérêts économiques occidentaux en terre africaine.
La destruction effective et hautement symbolique de son emprise sur l’Afrique et ses populations passe par le dynamitage de ses moyens de pompage des richesses continentales.

« Les solutions, nous les connaissons : le recours à la force par la mise à mal systématique et rationnelle des intérêts économiques occidentaux en terre africaine.»

Ces solutions, extrêmes en ce qu’elles instaurent un point de non-retour dans les relations Sud-Nord, sont évidentes pour qui se donne la peine de réfléchir et de faire abstraction du sentimentalisme, ce sédatif de l’action révolutionnaire. (…)
Il ne pourra à terme y avoir deux maîtres en Afrique : soit eux ou soit nous.
Source

Fdesouche sur les réseaux sociaux