(…) L’intégration des immigrants d’origine africaine ou arabe est davantage ardue que celle des immigrants venus d’Europe, selon les chercheurs de l’IRIS. En 2011, le taux de chômage des nouveaux arrivants venus d’Afrique ou du Moyen-Orient s’élevait à 21,3% alors que celui de travailleurs venus d’Europe se situait à 9,4%. Au Canada, le taux de chômage atteignait 5,5%.
Qui plus est, les nouveaux arrivants ont davantage de difficulté à s’intégrer à la société québécoise. Le taux de chômage des immigrants établis au Québec se situait à 11,2% en 2006 tandis que celui des natifs du Québec atteignait 5,2%. (…)
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