Les violences n’ont pas occasionné d’ITT. Mais elles ont été constatées. Des marques de coups plus anciens ont même été relevées. Jugé en comparution immédiate, Brahim a eu à répondre de coups portés sur sa femme enceinte de six mois. Les faits datent des 2 et 5 décembre chez eux à Cavaillon. « Ma femme, je l’aime », répète l’homme qui n’arrête pas de pleurer. Dans la salle, sa femme terrorisée n’ose pas lever le regard vers lui. Il a été placé sous contrôle judiciaire jusqu’à son prochain jugement le 25 janvier.
Le Dauphiné
