C’est ainsi que vous pourrez faire l’expérience comme de nombreux francophones dans les divers pays de la Francophonie, que si vous vous risquez à dire le contraire, vous serez immédiatement verbalement agressés par quelques fanatiques bien-pensants qui non content de vous affubler de noms d’oiseaux et autres onomatopées, vous rangeront dans la catégorie des « nazis » et autres sous-produits d’une idéologie défunte, le fascisme.
Et pourtant, le racisme n’a pas de frontière, il ne connaît ni couleur, ni parti politique malgré les efforts désespérés de tout une frange des médias européens et français à étiqueter le vocable sur un unique parti. Historiquement, bien sûr, le bât blesse. Dans les années 30 et 40, au temps de la montée des Empires totalitaires, le racisme et l’antisémitisme revêtaient déjà les couleurs politiques les plus variées. L’extrême droite maurassienne ne fut pas et de loin, la championne de la lutte contre « les métèques ». En 1935, on découvre même dans l’une de ces manifestations raciales, un dénommé François Mitterrand… Quelques années plus tard, l’essentiel des contingents de la collaboration seront sortis des rangs socialistes et communistes.
N’en déplaisent aux historiens, tout à chacun peut vérifier l’origine politique d’hommes de Vichy, comme Déat, Doriot, Laval, ou encore le père du révisionnisme, Rassinier auquel était affilié un certain… Robert Jospin.
14 ministres des 18 que comptait le régime vichyste étaient d’obédience de gauche.
Monsieur Collard, le rappelait il y a peu dans l’hémicycle de l’Assemblée Nationale à ses adversaires socialistes actuellement au pouvoir, très ennuyé de ne pouvoir gommé, une tâche que plusieurs générations politiques n’ont pas réussi à effacer.
Aujourd’hui, la nouvelle tendance, est de dire que le racisme anti blanc n’existe pas… Toute autre déclaration, attirera sur vous une horde vociférante qui vous classera, que vous en soyez ou non, dans les rangs des gens du Front National, l’argument massue…
Dire la vérité n’a pas toujours du bon, en France comme ailleurs. (…)
La voix de la Russie