Ne pas traiter les plaintes des usagers aurait permis de présenter de meilleurs résultats. La justice a ouvert une enquête.
Depuis le mois d’octobre, une rumeur se répandait en effet dans la ville du parfum : de nombreuses plaintes auraient tout simplement fini dans les armoires des policiers sans jamais avoir été instruites. Pour les fonctionnaires et leur responsable, il s’agirait d’un moyen de présenter des statistiques avantageuses.
Les enquêteurs poursuivent leurs investigations : une confrontation s’est d’ailleurs déroulée vendredi dernier entre différents protagonistes de l’affaire. Les policiers tentent de démêler l’écheveau des responsabilités entre le commissaire, les officiers et les gardiens de la paix qui sont censés recueillir les plaintes, puis les traiter en relation avec les services judiciaires.
(…) Le point