Choqué, Julien Sanchez, conseiller régional FN, l’est. Les réquisitions du procureur adjoint, le 18 janvier dernier, devant le tribunal correctionnel de Nîmes ou plutôt les termes employés par le magistrat ne lui ont pas du tout plu.
Julien Sanchez et deux Nîmois étaient poursuivis pour provocation à la haine raciale. “Monsieur le procureur adjoint a cru bon, plutôt que d’exposer des arguments juridiques à mon endroit, devoir m’insulter”, déclare Julien Sanchez. (…)
Midi Libre