(extraits) Les savants britanniques ont découvert chez les peuples autochtones de Sibérie le gène spécial de la résistance au froid. C’est le secret de la survie dans les conditions climatiques dures. Entre-temps, les chercheurs russes affirment qu’un tel gène existe chez chaque personne.
« Chaque personne a un même ensemble des gènes. Pourtant, chez les représentants de chaque ethnie, il est présenté dans différentes variantes. Les peuples du nord ont des variantes de gènes fixées par la sélection qui participent au métabolisme des lipides. Quand la personne mange une nourriture grasse, l’énergie est stockée en forme des graisses. C’est avantageux pour la vie dans les conditions d’un climat rigoureux ».
Les habitants des pays chauds ne nécessitent pas autant d’énergie, c’est pourquoi le métabolisme chez eux se passe un peu autrement.
Autrement dit, un Africain en Sibérie aura non seulement froid mais il aura faim aussi. Tous les stocks peu nombreux de l’énergie dans l’organisme se dépenseront vite. D’autre part, les gens du nord se sentiront mal à l’aise, eux aussi, dans les tropiques. L’activité du gène de la résistance au froid s’est élaborée au cours des millénaires.
Chez les peuples scandinaves, il existe certaines différences. Le type lui-même, la couleur de la peau et la structure du corps se distinguent de ceux des Européens de la zone méditerranéenne qui vivent dans un climat chaud ».