Depuis jeudi dernier, les Parisiennes ont le droit de mettre des pantalons, indique le Parisien. Le ministère des droits des femmes a abrogé -de façon implicite- l’ «ordonnance concernant le travestissement des femmes» en vigueur depuis plus deux siècles, et passible l’emprisonnement, écrit le journal.
La demande d’abrogation émane du sénateur UMP de la Côte-d’Or Alain Houperten juillet 2012. Deux circulaires autorisent le port féminin du pantalon, «si la femme tient par la main un guidon de bicyclette ou les rênes d’un cheval», mais le sénateur estimait que la «portée symbolique» de ce texte pouvait «heurter nos sensibilités modernes».
Le Figaro