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  • Avertissement à la Grande-Bretagne: Pourquoi le maire de gauche de la ville allemande de Duisburg veut que vous voyiez ce qui s’est passé lorsque les migrants roumains s’y sont installés ?
  • 400 Roumains et Bulgares ont récemment emménagé dans une cité HLM de la ville allemande
  • Le quartier est aujourd’hui un haut lieu de la criminalité et de comportements antisociaux
  • Duisburg conseille à la Grande-Bretagne d’être sur ses gardes car les migrants Roms se déplaceront très bientôt au Royaume-Uni afin de profiter de son système de prestations sociales.


Une retraitée Marlene Bothge raconte :
La tour où nous habitions est devenue une ruine entourée de détritus, de carcasses de vieux meubles et d’excréments humains. Ce fut sa maison pendant 18 ans jusqu’à ce qu’elle et son mari aient décidé de quitter leur appartement de 5 pièces en novembre dernier en raison de la saleté, du bruit et de la criminalité devenus vraiment insupportables.
Au cours des 12 derniers mois, 400 Roumains et Bulgares se sont installés dans une cité comprenant 46 appartements de Rheinhausen, une banlieue autrefois tranquille de la ville allemande de Duisbourg. Les autorités locales affirment que les Roms ont émigré ici en masse en raison de la protection sociale à laquelle ils auront droit dès l’an prochain.

A partir de janvier 2014, les 29 millions de citoyens de Roumanie et de Bulgarie auront juridiquement le plein droit de vivre, de travailler et demander des prestations sociales ici en raison de la «liberté de circulation» au sein de l’Union Européenne.

Bon nombre des nouveaux résidents de la ville allemande sont des Tsiganes Roms qui ont voyagé ensemble depuis les environs de Fântânele, en Roumanie, à la recherche d’une vie meilleure. Ces villages sont maintenant désertés tandis que dans Duisburg les appartements conçus préalablement pour des familles de trois ou quatre personnes ont jusqu’à 15 personnes entassées dans chacun d’eux.
Incapables de travailler ou de parler allemand et avec des écoles déjà complètes, les Roumains et les Bulgares se rassemblent par dizaines dehors chaque jour. Le quartier est aujourd’hui un haut lieu de criminalité et d’incivilités.
Progressivement, les locataires allemands ont presque tous quitté leurs appartements et déménagé. Il n’y a désormais plus que trois familles allemandes…
Mme Bothge raconte pourquoi:

«Ils défèquent et urinent dans les couloirs et les cages d’escalier aussi bien les adultes que les enfants», dit-elle au sujet des Bulgares et des Roumains. «Les hommes jouent aux cartes en dehors des appartements et s’ils ont besoin d’aller aux toilettes, ils baissent leurs pantalons et font cela en plein air… Ils ont pourtant des toilettes qui fonctionnent et donc j’ai du mal comprendre.»

«La cage d’escalier est devenue tellement sale que je ne veux plus que mes enfants viennent me rendre visite. Il y a des rats partout. Ils ont dépouillé les couloirs de tout ce qu’il s’y trouvait : les plantes que j’avais acheté sur mon palier et même volé mon balai que j’avais laissé à l’extérieur pendant 15 minutes.
La semaine dernière Lien Soeren, le maire socialiste de la ville affirme qu’Il était « tout à fait sûr » que la plupart des Roumains et des Bulgares qui sont désormais 6700 sur Duisburg (ville de 488.000 habitants) étaient au courant de l’aide sociale à laquelle ils auraient droit l’an prochain. « Je pense que la plupart d’entre eux vont demander des prestations »  a-t-il dit.
Beaucoup ne sont ni éduqués ni qualifiés, ils auront du mal à trouver du travail dans une ville où le chômage frôle déjà les 16 %. Pourtant, ils arrivent à un rythme régulier de 200 par mois. Le conseil municipal estime que l’année prochaine il en coûtera £ 15 millions par an à la mairie pour les nourrir. La ville demande à l’UE une aide financière pour faire face à cet afflux massif.
Le maire de Duisburg estime que la Grande-Bretagne, bien connue pour son système de protection sociale généreux, va également devoir subir les conséquences de l’ouverture de l’UE à ces États.
Père de quatre enfants Vasile, 23 ans, vient de Roumanie. Il affirme qu’il vit mieux ici en Allemagne, même sans emploi. « En Roumanie, je touchais 10 euros par mois pour les enfants alors qu’ici je reçois 200 euros. Nous nous sentons à l’aise ici. »
Deux portes plus loin Maria Marin, une mère célibataire de quatre enfants, a aussi l’espoir de passer en Grande-Bretagne. Elle a déménagé à Duisburg avec son frère et sa sœur et leurs familles et paie £ 400 par mois de loyer pour son trois-pièces. Dans la discussion elle nous montre l’ensemble de sa dentition éclatante d’or.

«Nous vivons de prestations sociales, mais elles sont bien trop insuffisantes. Je serai ravie de venir en Angleterre l’année prochaine car ils ont une bonne protection sociale pour les enfants»

Un tiers des voitures garées sur le parking ont des plaques d’immatriculation britanniques, ce qui laisse suggérer que la plupart des résidents vivent déjà en Grande-Bretagne une partie de l’année. D’autres ont des plaques d’immatriculation espagnoles ou italiennes.
L’UE a dit à tout le monde «Venez, venez», mais sans aucune préparation ni concertation et nous en subissons aujourd’hui les conséquences.
Article (en anglais), photos, vidéo sur :
Daily Mail

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