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Addendum 18/03/13

Le plus jeune des agresseurs présumés de Grégory Lhomme a été condamné à 10 ans de réclusion hier à Nancy Entre le 6 décembre 2009 et le 9 janvier 2010, Nancy a connu une vague d’agressions nocturnes d’une extrême violence.

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Grégory Lhomme

Il est 15h, le verdict tombe, Mehdi est condamné à dix ans de réclusion. Dans le box, le jeune homme âgé de 18 ans aujourd’hui n’exprime aucune réaction, comme insensible à ce qui lui arrive.

Selon la loi, les portes du tribunal pour enfants de Nancy statuant en matière criminelle sont ouvertes pour l’énoncé de la décision. Seul moment public de ce dossier examiné à huis clos eu égard au jeune âge du prévenu, moins de 16 ans au moment des faits. Mehdi, est reconnu coupable pour l’ensemble des agressions reprochées, y compris celle qui a coûté la vie à Grégory Lhomme, le 3 janvier 2010. […]

Le Républicain Lorrain
(Merci à Docteur Bazooka)

Rappel des faits en vidéo (05.02.2010)

Lu dans l’Est Républicain : (14.01.2010)

Une série d’agressions secoue depuis plusieurs semaines la cité des ducs. Une violence sauvage qui a coûté la vie à Grégory Lhomme dans la nuit du 2 au 3 janvier, semant le trouble dans la population.

Les premières agressions remontent à l’été 2006. Si le mode opératoire différait légèrement, le déchaînement de violence faisait déjà froid dans le dos (Lire par ailleurs). Reste que les passages à tabac des dernières semaines ont mis les forces de l’ordre face à une nouvelle forme de délinquance, mobile, ultraviolente et crapuleuse. Une délinquance qui a coûté la vie à Grégory Lhomme la nuit du 2 au 3 janvier, rue Pasteur à Nancy. Pris à partie par plusieurs jeunes, ce solide gaillard de 1,90 m pour 102 kg a succombé sous les coups de ses agresseurs.
Un mode opératoire qui s’est répété à de nombreuses reprises – notamment le week-end dernier dans la Grand-Rue à Nancy – qui a conduit les victimes vers les urgences, sérieusement amochées, physiquement et psychiquement. (…)

« Un soir, ça a un peu remué. Les jeunes qui provoquaient ont été sortis du bar. L’un d’eux est revenu, en prévenant le barman : Fais gaffe, ce soir ils ont décidé de casser du Blanc ! » Une phrase qui a glacé le sang de la pétillante trentenaire qui reconnaît « ne plus se sentir en sécurité, même place Stan ».

source

(Merci à Guillaume)

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