Mais la vieillesse n’en est que plus difficile pour cette première génération qui est restée très attachée à sa culture. Cette problématique représente un nouveau défi pour la Région. (…)
Nurayi est secrétaire générale de l’association de parents turcs de Belgique et explique bien que c’est une question d’éducation : “On conseille toujours le dialogue familial, c’est très important, surtout pour les petits enfants de recevoir l’amour des grands parents. La place des parents, c’est très important en tout cas pour la communauté turque, mais si on a vraiment un souci de place, il faut qu’on gère cette situation pour garder les parents auprès de soi le plus possible, en cas de force majeure, je dis bien en cas de force majeure, peut-être pourra-t-on penser aux maisons de repos.”
Mais ces maisons de repos, ils les voudraient adaptées à leur culture, avec du personnel parlant leur langue.