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Robert Ménard appelle à ne plus faire de concessions face aux revendications communautaires musulmanes.

Jusqu’où ira-t-on ? Que faudra-t-il faire pour amadouer les plus intransigeants des musulmans ? À quelles concessions, à quelles entorses, à quelles reculades serons-nous contraints pour satisfaire à l’idéologie du «vivre-ensemble» ?

À la lecture d’une enquête dans Le Monde sur «la pratique religieuse au travail», je découvre, oui je l’avoue, je découvre le poids des pressions et l’ampleur des abandons.

Sur la multiplication des absences les jours de fête religieuse, sur les exigences en matière de cantine (pas de porc dans les plats de viande, pas de vin dans les sauces), sur les lieux de prière, sur le port du voile… il faut chaque fois négocier, s’adapter et finalement céder. […]

Qu’on ne nous réponde pas qu’il s’agit d’une «minorité» au sein des fameuses «minorités visibles». Pas du tout : selon l’Observatoire Sociovision 2010, 61 % des musulmans – puisqu’il s’agit bien d’eux et non des bouddhistes ou autres catholiques de l’Opus Dei – s’estiment «frustrés» et demandent davantage de «reconnaissance» et «d’affirmation de la religion»

Et si on disait non, niet, pas question ? Et si on cessait d’avoir peur de passer pour des racistes ?

Finissant ce petit papier, j’allais écrire que, bien sûr, je n’avais rien contre tel ou tel, qu’il ne s’agissait pas de pointer du doigt les uns ou les autres. Histoire de payer mon dû, mes gages à la doxa médiatique, bref de montrer patte blanche et aussi d’assurer mes arrières. Je ne le ferai pas. Ce serait, d’une certaine façon, capituler à mon tour. Et cela, je le refuse. Tout simplement.

Boulevard Voltaire (Merci à domi)

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