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[extraits] Forte de trois films, la soirée hiphop de France ô démarre avec le documentaire “Les Héritiers du hip hop” qui narre le déploiement de cette odyssée dans l’Hexagone. Puis, elle braque les feux sur Kery James (…)

(…) Jeunes gens et jeunes filles qui aimez le rap, suggérez à vos darons et daronnes de regarder ce spécial Kery James ! Ils découvriront, peut-être, que, contrairement à ce que véhiculent la pensée dominante et sa cohorte de médias soumis, le hip hop ne se limite nullement au courant « gangsta » et bling bling, mais forme un mouvement artistique à part entière.

Le documentaire [évoque] la difficile vie des quartiers défavorisés, les galères, l’appel du hip hop, les tentations de la rue, la conversion à l’Islam (…)

Charles Aznavour a enregistre avec Kerry James le titre “A l’ombre du show business”. Le poète rebelle y scande : « Le rap est un art prolétaire / Alors les minorités sont majoritaires ». Moment fort, quand il parle du racisme qu’il a affronté dès son âge tendre.

Du rap, il fait une arme politique. Dans le générique, il a la délicatesse d’adresser des remerciements, entre autres, à la Fête de l’Humanité.

L’Humanité

+ vidéo :

“Kerry James est en accord avec ses contradictions”


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