Après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl le 26 avril 1986, la vie humaine a disparu aux alentours du réacteur. 340 000 personnes ont été déplacées et plus de 150 villages ont été évacués. La vie sauvage semble pourtant s’épanouir dans la zone d’exclusion. Des scientifiques s’interrogent sur l’évolution étonnante du nombre de loups sur le territoire.
«L’effet de la radio-activité, au-lieu de diminuer, s’accumule année après année. Après une quinzaine de générations on se rend compte qu’il y a de plus en plus d’effets délétères, de malformations, d’avortements spontanés, d’effets directs sur l’ADN et d’apparitions de cancers.»
Le jardin extraordinaire (RTBF le 05/05/2013)