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Une étude néerlandaise arrive à la conclusion que les débats touchant à des préoccupations ethniques sensibles peuvent être contreproductifs.


Le secrétaire à l’Education Michael Gove se trouve sous le feu des critiques pour avoir envisagé de mettre un terme à l’enseignement de sujets multiculturels aux adolescents

Une importante étude a révélé hier que les enfants à qui l’on donne des cours d’antiracisme à l’école ont davantage tendance à être intolérants hors de leur classe.

Selon cette étude, accuser les élèves blancs de racisme est source d’animosité et discuter de questions ethniques sensibles comme les crimes d’honneur c’est dépeindre sous un mauvais jour les enfants appartenant à des groupes minoritaires.

L’enquête souligne que les enfants qui vivent dans des quartiers mixtes sont souvent dénués d’hostilité envers les autres groupes raciaux.

Mais, en revanche, elle constate que « lorsqu’en classe on accorde davantage d’attention à la société multiculturelle, l’effet de libéralisation que ce contact positif exerce dans les classes sur les attitudes xénophobes des jeunes diminue. »

Cette étude réalisée aux Pays-Bas arrive en pleine controverse sur la place du multiculturalisme – qui reproche à la Grande-Brtagne son racisme historique et exige d’elle qu’elle encourage les cultures minoritaires – dans les programmes et l’enseignement national des écoles britanniques.

(…) Polémia

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