La Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones a été adoptée par l’Assemblée générale de l’ONU en septembre 2007.
La Déclaration affirme notamment que les peuples autochtones ont le droit à l’autodétermination interne et qu’en vertu de ce droit, ils déterminent librement leur statut politique et recherchent librement leur développement économique, social et culturel.
Elle dispose que les peuples autochtones ne peuvent être expulsés de leur terre. Qu’ils ont droit aux ressources naturelles situées sur leur terre.
La Déclaration devient la référence de l’ONU pour le respect des droits des peuples indigènes.
Wikipedia
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Complément : Extrait du livre “Le terrorisme intellectuel” de Jean Sévillia (p141)
« Selon le discours en vogue, la France aurait toujours été un creuset de population. Cette assertion est fausse. Du 6e au 19e siècle, le fond du peuple français est demeuré le même.
Au 19e siècle apparaît d’abord une immigration saisonnière. La première grande vague migratoire a lieu après la Première Guerre mondiale. Elle est constituée d’Italiens, d’Espagnols. de Polonais et de ressortissants d’autres nations de l’Est.
« Du 6e au 19e siècle, le fond du peuple français est demeuré le même. »
A partir de 1946, la seconde vague migratoire vient d’Algérie. Contrairement à ce qui se répète, ce n’est pas le patronat qui fait venir cette main-d’œuvre : ce sont les pouvoirs publics, afin de trouver une issue à l’explosion démographique de la population musulmane d’outre-Méditerranée.
Après 1962, l’Algérie indépendante, le flux migratoire reprend, en vertu de la libre circulation (accords d’Evian). Si l’immigration est officiellement interrompue en 1974, le regroupement familial accroit dans les faits le nombre d’arrivants.
D’autres courants migratoires apparaissent, issus d’Afrique noire ou d’Asie. Et en vertu de la loi, tout enfant né en France de parents étrangers peut, à sa majorité, accéder à la nationalité française.
En 1975, les Européens (Portugais, Espagnols, Italiens) forment 60 % du total des étrangers installés en France, et les Africains 34 %. En 1990, la proportion est inversée : 45 % d’Africains (dont 39 % de Maghrébins), 40 % d’Européens, et 11 % d’Asiatiques (dont 5 % de Turcs).
Cette réalité, les pouvoirs publics la dissimulent. Le 26 octobre 1985, le Figaro Magazine provoque un tollé en publiant des projections montrant l’ampleur du phénomène migratoire. Le ton est donné : prévoir les conséquences d’une immigration massive, c’est faire preuve de racisme.
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Les « grandes invasions » : une immigration numériquement bien modeste
Le peuplement d’origine de la France n’a pas été modifié par les «grandes invasions». A quelques exceptions près, le socle de la population française à la veille de la Révolution reste le même qu’au temps de Charlemagne. Et le restera jusqu’à la fin du XIXe siècle.
Plusieurs courants d’immigration arrivent en France à partir de 1885 : polonaise, italienne et belge d’abord ; espagnole et portugaise durant les « trente glorieuses ».
Ces immigrations de race blanche, de culture européenne et de religion catholique s’assimileront très rapidement. Leur apport à l’identité française paraît somme toute modeste.
Fondamentalement, l’identité française n’a pas été modifiée par l’immigration européenne.
Les immigrations maghrébines et africaines des quarante dernières années changent radicalement la donne.
D’abord, elles sont beaucoup plus massives que les précédentes : 80.000 à 100.000 personnes par an dans les années 1980/1990, 150.000 à 200.000 personnes par an depuis 2000.
Ensuite, elles concernent des hommes et des femmes venus de civilisations profondément différentes de la civilisation française : civilisation arabo-musulmane pour les uns ; civilisation africaine pour les autres. Et ces immigrations ne sont pas en cours d’assimilation ; bien au contraire, les problèmes d’intégration qu’elles posent s’aggravent année après année.
La présence d’une abondante immigration noire et africaine dans certaines régions est même un élément destructeur de l’identité nationale. La transmission de la langue, de l’histoire et de la culture françaises, à travers l’école, devient difficile sinon quasi impossible là où les enfants d’origine française sont dramatiquement minoritaires.
Dans certains quartiers on assiste à une assimilation à l’envers, par défrancisation générale.
La progression de l’islam dans les banlieues – et la crainte de toute attitude susceptible d’être qualifiée « d’islamophobe » – remet en cause les valeurs mêmes de notre civilisation : la liberté de penser par soi-même, l’esprit de libre examen, le respect de la personne, y compris de la femme.
Dans ces conditions, parler « d’apport de l’immigration à l’identité française » relève, intellectuellement, de la novlangue et, politiquement, de l’imposture.
(source)
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La Déclaration des Nations Unies sur les droits des peuples autochtones a été adoptée par l’Assemblée générale de l’ONU en septembre 2007.
La Déclaration affirme notamment que les peuples autochtones ont le droit à l’autodétermination interne et qu’en vertu de ce droit, ils déterminent librement leur statut politique et recherchent librement leur développement économique, social et culturel.
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