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Addendum 2 juillet : L’ex-radiologue de Quimper accusé de viol en cavale en Espagne. (…) Un mandat d’arrêt national et international a été lancé. Le Parquet de Quimper est persuadé que l’homme aurait organisé sa fuite.
(…) France 3 Bretagne
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Addendum 21 juin : Surprise aux Assises du Finistère : le radiologue ne se présente pas au tribunal.
Dernier jour du procès de l’ancien radiologue de Quimperlé ce matin aux Assises du Quimper. Coup de théâtre, le prévenu ne se présente pas et reste introuvable. Comparaissant libre, il s’était jusqu’ici présenté sans problème devant la cour d’assises. En tout, 34 femmes, dont 32 entre 2005 et 2006, auraient été victimes de viols ou d’atteintes sexuelles par l’ancien chef de service de l’hôpital de Quimperlé.
(…) France 3 Bretagne
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Un radiologue est jugé depuis lundi par la cour d’assises du Finistère pour des agressions sexuelles et des viols qu’il aurait commis entre 2002 et 2006 sur 32 jeunes femmes, dont certaines mineures au moment des faits.

Le médecin, Mohammed Frehat, 55 ans, est accusé par trente-deux jeunes femmes d’agressions sexuelles et de viols qu’il aurait commis dans le cadre de ses fonctions de radiologue au centre hospitalier de Quimperlé (Finistère) entre 2002 et 2006.
Parmi celles-ci, huit étaient mineures au moment des faits présumés, dont deux âgées de moins de 15 ans.

En mai 2005, deux de ses patientes portent plainte contre lui pour des agressions sexuelles présumées commises lors d’examens médicaux. Mais les plaintes sont classées sans suite. Sa hiérarchie lui demande cependant de ne plus pratiquer aucun examen radiologique seul.
En 2006, de nouvelles plaintes pour des faits de même nature sont déposées. La justice interdit alors au radiologue de pratiquer toute mammographie ou échographie vaginale. Violant cette interdiction, le médecin aurait continué de réaliser des échographies par voie endovaginale, parfois sur des mineures en l’absence de l’autorisation des parents, suscitant de nouvelles plaintes.

Le radiologue, d’origine algérienne, s’est défendu au cours de cette première journée d’audience, en assurant notamment que la durée des examens qu’il pratiquait s’expliquait par sa « hantise de passer à côté d’un diagnostic ».

Le procès est prévu de durer jusqu’à vendredi.
Républicain Lorrain

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