La princesse voulait épouser le chirurgien pakistanais. Le “Vanity Fair” américain revient sur cette romance qui dérangea tant de monde. Le grand public se souvient de Dodi Al Fayed, l’homme qui mourut aux côtés de la princesse de Galles sous le tunnel de l’Alma le 31 août 1997, après une romance ultra-médiatisée pendant tout cet été-là. Mais ce qu’il sait moins, c’est que le coeur de Diana battait sans doute toujours pour Hasnat Khan, un chirurgien pakistanais pour lequel elle aurait bravé tous les interdits. C’est en tout cas l’hypothèse soutenue par le magazine américain Vanity Fair, qui met en une un splendide portrait de Diana en titrant sur “son véritable amour” dans son édition de septembre.
L’article met en lumière cette relation méconnue entre l’ancienne épouse du prince Charles d’Angleterre et ce brillant médecin pakistanais, investi dans l’humanitaire. Cette passion plus ou moins secrète dure pendant deux ans, de 1995 à 1997, et forme la trame principale du film Diana, qui sortira en octobre prochain avec dans le rôle-titre la très ressemblante Naomi Watts.
(…) Automne 1995. Diana rend visite à une connaissance soignée à l’hôpital royal Brompton de Londres. Un jeune chirurgien arrive, 36 ans, grave et en blouse blanche, si occupé avec son patient qu’il ne remarque même pas la très médiatique princesse de Galles fraîchement divorcée. Pour Diana, un vrai coup de foudre : elle s’imagine parcourir le monde au bras de son nouvel amant dans des causes humanitaires communes. Du sérieux et de l’aventure, un vrai changement de vie. “J’ai trouvé la paix, confesse-t-elle à une amie. Il m’apporte tout ce dont j’avais besoin.” Elle passe ses nuits dans la chambre de garde du jeune cardiologue, se met à la cuisine et va jusqu’à repasser ses chemises… Selon certains proches, elle aurait même envisagé de se convertir à l’islam. Comme on s’en doute, Buckingham commence à tousser.
(…) Le Point