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[mise à jour du 13 août 2013]
Bonjour, Madame la Sénatrice,
Vous avez, le 14 juillet dernier, subi une agression que vous relatez dans Le Courrier picard. Devant un distributeur, un homme vous a volé, en pleine rue et devant témoins, l’argent que vous veniez de retirer. Vous l’avez vainement poursuivi, et vous avez déclaré en déplorant le fait que personne ne vous ait aidée :

« Le premier problème de l’insécurité, c’est la lâcheté collective. »

Non, madame…

Le premier problème de l’insécurité, c’est votre politique d’immigration massive légale et illégale depuis trente ans, et la “libre passoire” instaurée, avec votre aval, par les accords de Schengen.

Le deuxième, c’est le laxisme politique et judiciaire de votre parti fusionné UMPS envers les voyous.
Le troisième, c’est votre ministre de l’Intérieur, petit matamore et pantin articulé qui gesticule et ânonne autant qu’il est inefficace (il ne faut pas froisser votre nouvel électorat d’origine maghrébine et de confession musulmane).
Le quatrième, c’est votre ministre supposée de la Justice dont le laxisme n’a d’égal que l’ignorance historique et la haine de notre pays…
Le cinquième, c’est que dans cette propension à protéger les voyous, si je m’attaque à l’un d’eux pour défendre une victime et que par malchance, je lui occasionne de graves blessures, « votre justice » me conduira en garde à vue et en prison où l’on me dénichera, à moi, simple citoyen, une place que l’on ne trouve pas aux vrais voyous.

Chère madame Rossignol, vous venez donc de goûter, à l’instar de millions de Français agressés (et souvent avec des conséquences bien plus graves que celles que vous avez subies), aux joies du « vivre ensemble » que vous prônez depuis des décennies et à celles de l’insécurité que votre politique promeut en cajolant tous ceux qui prennent notre pays pour une poubelle.

Veuillez agréer, Madame, mes salutations républicaines.
Boulevard Voltaire
———– Ci dessous article du 8 août 2013 ———

Victime d’un vol, la sénatrice Laurence Rossignol est en colère

« Le premier problème de l’insécurité, c’est la lâcheté collective. » La sénatrice socialiste de l’Oise, Laurence Rossignol, ne mâche pas ses mots.


Le 14 juillet dernier, vers 14 heures, elle retire de l’argent au distributeur automatique d’une banque de la place Saint-Jacques à Compiègne. Un homme lui vole l’argent, elle le poursuit dans la rue.
« Tout le monde était comme tétanisé, raconte-t-elle. Je demandais de l’aide pour l’arrêter. Une seule personne lui aurait sauté dessus ou simplement fait un croche-patte, en trente secondes, on le maîtrisait. »
Au lieu de cela, la sénatrice ne trouve pas d’échos à son appel à l’aide. « Ce n’était pas le Compiègne désert. Il y avait du monde aux restaurants voisins », témoigne-t-elle.
Elle reste en colère contre cette passivité. « La première des protections est collective, c’est la solidarité.

Plein de choses ne se passeraient pas si les gens se bougeaient. Il y a un problème d’implication. Est-ce que nous sommes de simples spectateurs et commentateurs du monde dans lequel on vit, et pas des acteurs, des gens qui réagissent ? Quand vous criez “Au secours !”, personne ne bouge maintenant. Si j’avais reçu ne serait-ce que l’aide d’une seule personne… »

Ne pas porter assistance à une personne en danger est un fait délictuel, dont les peines maximales vont jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et 75 000 € d’amende.
Courrier Picard
(Merci à Sarkopilami)

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