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Le démantèlement d’un trafic de cannabis fin juin dans une cité de Marseille a levé le voile sur l’organisation très structurée des dealeurs, dont le business peut rapporter 60 000 € par jour.
Une fourmilière. Vu du ciel, voilà à quoi ressemble l’un des plus gros points de vente de cannabis de Marseille (Bouches-du-Rhône). Ces images filmées au début de l’année par un hélicoptère des douanes ont été projetées hier matin au siège de la police judiciaire de la cité phocéenne, devant Manuel Valls, venu une nouvelle fois évoquer la lutte contre le trafic de drogue.
Le ministre de l’Intérieur a ainsi assisté à l’autopsie d’un des réseaux les plus actifs de la région, implanté au cœur de la cité de la Castellane, la plus peuplée de Marseille, et dont 23 membres présumés ont été arrêtés fin juin au terme de sept mois d’investigations.
Un dossier emblématique dans une ville gangrenée par les trafics, où nombre de policiers pensaient toute enquête approfondie « impossible ». Cette affaire se révèle par ailleurs riche en enseignements sur le fonctionnement interne de ces supermarchés de la drogue où les petites mains commencent leur carrière à 10 ans.
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