Mercredi, Hassan comparaissait devant le tribunal correctionnel de Toulouse pour «dégradation du bien d’autrui par un moyen dangereux pour les personnes, en récidive».
[…] Ayant déjà 7 condamnations pour dégradation inscrites à son casier judiciaire,
«L’expertise psychiatrique d’Hassan met en lumière des bouffées délirantes ayant pu altérer légèrement le discernement de l’intéressé au moment de la commission des faits», déclare l’avocate de la défense.
Le procureur Deslandes rappelle que l’altération légère du discernement du prévenu ne l’exonère pas pour autant de toute responsabilité. Hassan écope d’une peine de 8 mois de prison ferme avec obligation de rembourser la porte détériorée.
La Dépêche
(Merci à Pmarasan/Bitume8/Julien271)