(extraits) Pour la première fois dans l’histoire de la Norvège, un parti populiste, le Parti du Progrès (PdP), qui a bâti sa popularité sur une politique d’immigration ultra-restrictive, devrait entrer dans un gouvernement dirigé par les conservateurs.
Tous les sondages prédisent la fin du règne des travaillistes à l’issue des élections du 9 septembre. Les immigrés représentent 13 % de la population en Norvège.
Libre.be
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Complément 1 : Depuis le milieu des années 1990, le pays a servi de refuge à des centaines de milliers d’immigrés, venus notamment de zones de conflit telles que la Somalie ou le Kurdistan. Le nombre de Norvégiens issus de l’immigration a doublé en quinze ans. À Oslo, le prénom le plus donné en 2010 a été Mohammed.
Complément 2 : Déclaration de Siv Jensen, présidente du PdP, 2009 :
« La réalité c’est que l’on est en train de permettre une islamisation rampante de cette société et ceci, nous devons l’arrêter ! »
Elle a précisé qu’en cas d’arrivée au pouvoir, son parti ne céderait à aucune exigence et que seules la loi et les règles norvégiennes s’appliqueraient. FDS (2009)