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Syrie : le pape redit non à la guerre
Le pape François a redit non dimanche à la guerre en Syrie, dénonçant les “guerres commerciales pour vendre des armes” et “la prolifération” de celles-ci, appelant les responsables à “une juste solution au conflit fratricide”. Devant une foule particulièrement dense qui remplissait la place Saint-Pierre, le pape argentin a demandé aux chrétiens de “renoncer” et de “combattre le mal”, en “payant de leur personne”.
Europe1
Syrie: le Pentagone préparerait des frappes plus importantes que prévu
La liste des cibles potentielles est en train d’être élargie, selon le Los Angeles Times.
Le Pentagone prépare des frappes sur la Syrie plus longues et plus intenses que prévu, pendant trois jours, a rapporté le Los Angeles Times dimanche.
Libération
Kerry : « La Syrie, c’est notre Munich à nous »
Laurent Fabius et son homologue américain n’ont pas eu de mots assez forts lors de leur conférence de presse commune samedi soir au Quai d’Orsay pour redire leur détermination à agir contre Bachar Al Assad.(…)
Laurent Fabius a compté les ralliements : 7 sur 8 des pays du G8, 12 sur 20 des pays du G20 et le communiqué des 28 pays de l’Union européenne soutenant une action « claire et forte » . « Elle sera le préalable à toute solution politique », a assuré Laurent Fabius car, c’est la conviction des Français et des Américains, « Bachar Al Assad ne participera à aucune négociation tant qu’il se croira invincible .»
« La stabilité du Moyen-Orient a de l’importance pour les Américains.

Si la Syrie implose, si les terroristes font la loi… Il faut que nous répondions », a martelé John Kerry.

Il a évoqué la dissémination du gaz sarin dans le métro de Tokyo comme une menace possible. « Bachar Al Assad a 1.000 tonnes de gaz, ses vecteurs vont à 500 kilomètres mais il y en a qui vont plus loin », a surenchéri Laurent Fabius. Seuls Adolph Hitler et Sadam Hussein avaient, jusqu’à Bachar El Assad, utilisé de telles armes.
Les Echos
Syrie : pour Fillon, la France “paierait cher” une intervention militaire
Une opération “pour punir” le régime de Bachar Al-Assad en Syrie n’aurait pas beaucoup de sens et ferait courir de grands risques pour le Liban voisin et les intérêts français dans ce pays, a déclaré dimanche 8 septembre François Fillon.
Le Monde

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