Jean-Pierre Fougerat, maire (PS) de Couëron ne veut pas que sa commune soit un « aspirateur » de familles Roms expulsées de villes voisines.
« Quand il y a une vingtaine de personnes on peut faire de l’intégration mais pas à 150, précise-t-il. D’autant que cela pose parfois des problèmes de sécurité ». Pour faire face à ce qu’il qualifie de « situation critique et explosive » sur sa commune, l’édile demande à la préfecture de mettre en place, au plus tôt, un groupe de travail sur le sujet.