Comme le précise Bruno Beschizza, il est question dans ce bilan d’identité et non pas de “fichage ethnique”.
La demande de la nationalité du délinquant fait partie de “la grande identité à fournir aux magistrats”. Selon lui, il s’agit d’un détail “factuel”, qui ne doit pas être “stigmatisant“.
L’élu UMP tient également à rappeler qu’il “ne croit pas au déterminisme”, et “qu’on n’est pas délinquant parce qu’on est de telle nationalité”.