Le 14 janvier, un rapport publié par la Ligue des droits de l’homme dénonçait un doublement des évacuations de Roms des camps installés en France.
Le jour même, le chef de l’État François Hollande, a déclaré que la France n’avait pas «à rougir» de cette politique.
Mais selon des fonctionnaires de la police aux frontières (PAF), les chiffres des éloignements de Roumains et Bulgares en situation irrégulière sur le territoire n’ont «absolument pas doublé depuis un an».
Le nombre d’expulsions des camps a en partie augmenté parce que des personnes ont été déplacées à plusieurs reprises».
En clair: ils sont restés sur le territoire français, malgré la ronde des démantèlements sous l’objectif des caméras.