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Vendredi 24 janvier et lundi 26 janvier 2014… quelques centaines de familles, parmi lesquelles de nombreuses familles musulmanes, n’envoient pas leurs enfants à l’école. Ils protestent contre des cours d’éducation sexuelle donnés à leurs enfants en bas âge. Mouss Baker tire le signal d’alarme et s’inquiète que des musulmans apportent leur soutien à des «mouvements d’extrême droite».

Nous nous sommes alliés à nos ennemis, ceux qui nous refusent compassion, égalité et droits élémentaires et voici que nous nous mettrons à dos nos concitoyens, dont certains de gauche pourtant naturellement plus prompts par leurs engagements associatifs à nourrir le pauvre, à aider l’orphelin.

Une autre lecture des événements devrait être celles-ci : les 24 et 26 janvier 2014, de nombreux musulmans, en retirant leurs enfants de l’école, en apportant du crédit aux rumeurs propagées par les initiateurs des Journées de retrait de l’école (JRE) apportent leurs soutiens aux mouvements d’extrême droite.
Comment en est-on arrivé là ? Comment la «meilleure des communautés», celle du «juste milieu», comme elle l’aime le rappeler, peut-elle soutenir un pareil mouvement ? La fin ne justifie pas les moyens et il est possible de défendre l’image d’une famille traditionnelle sans pour autant aller s’acoquiner avec des idées, des mouvements et des individus qui sont le fruit de l’antisémitisme primaire des XIXe et XXe siècles.
Les musulmans qui ont soutenu les JRE, qui ont milité auprès de leurs coreligionnaires et ont propagé des rumeurs grotesques en nous incitant à l’action les 24 et 26 janvier sont coupables. Ils sont coupables au mieux d’ignorance et de bêtise, au pire de manœuvre politique.
Qui se cachent derrière JRE ? Alain Soral, Béatrice Bourges, Farida Belghoul… Sous couvert de défendre une vision monolithique de la famille, c’est en réalité une longue lignée de l’extrême droite française qui se poursuit. […] saphirnews

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