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[Très long article d’analyse et de synthèse – Quelques courts extraits ci-dessous]
• La politique migratoire française en cours depuis 40 ans est un cas unique parmi les pays développés pour deux raisons : son ampleur et sa nature. L’INED totalise ainsi 12 millions de personnes issues de 1ère ou 2e génération d’immigrés et 25 % des naissances actuelles comptant au moins un parent immigré.
• L’immigration de peuplement, telle qu’organisée par l’état, a permis de rendre incontournable la sphère publique qui en a retiré l’essentiel des bénéfices. Car l’immigration crée une demande continue de biens et services dans de nombreux secteurs que seul l’État était en mesure de gérer.
• L’état, par le jeu de la redistribution sociale financée par l’impôt et l’endettement, transforme en clients solvables des millions d’immigrés très pauvres et peu employables.

Le but était de constituer pour l’État une clientèle captive. Au final l’immigration de peuplement a inévitablement engendré des problèmes sociaux prévisibles parce qu’elle est inadaptée aux besoins de l’économie française.

• Lorsqu’un immigré entre en France, il partage avec les natifs le poids du système social et de la dette. Il réduit donc les cotisations et taxes. Si on s’en tient à cette logique, il faudrait accueillir le plus possible de ces gens. Mais un immigré entrant en France présente un coût net pour le système social, crée du chômage. Ce coût se répercute sur l’impôt et en particulier sur le coût du travail.

Il vaudrait mieux pour la collectivité des natifs que ces gens restent chez eux.

Lire l’article intégral  sur Atlantico – merci Radicelle

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