Les policiers du commissariat de Roubaix n’en peuvent plus. Les stocks d’herbe et de résine de cannabis entreposés dans les locaux à scellés dégagent une odeur insupportable. La drogue saisie lors de différentes affaires s’entasse inexorablement alors qu’elle devrait être détruite sur ordre de la justice. Au-delà de l’odeur prégnante qui les gêne, les policiers craignent surtout qu’à force d’inhaler ces molécules de stupéfiants, ils ne soient contrôlés positifs ! Des tests salivaires effectués par quelque-uns d’entre eux se sont déjà révélés positifs… sans parler des malaises.
(…) Le Parisien