L’Etat ne va pas “se substituer aux actionnaires défaillants” de Libération, en graves difficultés financières, a averti la ministre de la Culture et de la Communication Aurélie Filippetti mercredi sur iTELE. […]
“On a accompagné jusqu’à présent, mais ce n’est pas l’Etat qui va se substituer aux actionnaires défaillants”, a ajouté Mme Filippetti. Le sort du journal, déficitaire et endetté, sans trésorerie, se jouera dans les prochaines semaines.