Visée par douze plaintes de personnalités épinglées sur le « mur des cons » du Syndicat de la magistrature, sa présidente, Françoise Martres, a été mise en examen le 17 février dernier.
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C’est dans le plus grand secret que les deux juges instruisant les plaintes — le groupe UMP à l’Assemblée, le journaliste Robert Ménard ou le général Schmitt figurent notamment parmi les plaignants — ont entendu la magistrate, visiblement excédée d’être convoquée pour ce dossier…
Interrogée à 11 heures, trois jours après le journaliste qui avait révélé l’affaire, Clément Weill-Raynal, la présidente du “SM” s’est vu signifier sa mise en examen une heure et demie plus tard. Silence radio sur cette décision dans les rangs de la magistrature…
Valeurs actuelles (Merci à florence1533)