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Addendum du 17.03.2014 :
Reportage au JT de TF1





Addendum 17.03.2014 :
Le ministre de l’Intérieur Manuel Valls a dénoncé lundi des «faits de violence inadmissibles» après les échauffourées survenus dimanche à Chanteloup-les-Vignes, dans les Yvelines, et ne «doute pas de la réponse judiciaire» qui sera apportée.
Le ministre s’est rendu lundi après-midi sur les lieux des incidents où des policiers ont été violemment pris à partie dimanche en fin d’après-midi par quelques dizaines de personnes à la suite d’une tentative d’interpellation. Une maison de l’Emploi a notamment été caillassée et incendiée dans la soirée et un véhicule entièrement détruit par les flammes dans l’enceinte de l’antenne de police fermée à cette heure. «Je suis frappé par des faits de très grande violence et inadmissibles à l’égard des forces de l’ordre qui ont fait leur travail», a déclaré Manuel Valls devant les policiers dont six ont été légèrement blessés. «L’Etat ne peut se laisser intimider par de tels actes», a ajouté le ministre.
Le JDD


La colère grondait dimanche soir parmi les habitants de Chanteloup-les-Vignes (Yvelines) après une nouvelle série d’arrestations dans la cité de la Noé. 
Après des échauffourées dans l’après-midi, qui avaient vu une soixantaine d’habitants s’en prendre aux force de l’ordre à la cité de la Noé à Chanteloup-les-Vignes (Yvelines), les tensions sont montées d’un cran dimanche en début de nuit.

Un peu après 22h30, les pompiers ont été appelés après que la Maison de l’Emploi du quartier ait été incendiée. Selon les premières constatations, une voiture était également en feu.
Dans le même temps, le poste de police a lui également été la cible d’un cocktail molotov, tandis qu’à la gare de Chanteloup-les-Vignes les caméras de videosurveillance semblaient elles aussi avoir subi des dégradations.

Tout aurait commencé vers 16 heures, lorsque les policiers de brigade anti-criminalité (Bac) prennent en chasse une voiture dans la cité. La poursuite est rapidement abandonnée. Puis sur leur chemin, les forces de l’ordre reconnaissent, un jeune homme suspecté d’avoir dérobé, la veille, dans un supermarché, le sac à main d’une commerçante de la ville qui contenait 20 000 € de bijoux. Elles veulent alors procéder à son interpellation.

Lorsqu’une policière s’approche du jeune homme, elle a, selon la police, été insultée et même frappée.

Une échauffourée s’en est suivie et une soixantaine de personnes qui s’en seraient violemment prises aux fonctionnaires de police qui ont fait usage de gaz lacrymogènes. Des renforts de police ont été appelés et cinq jeunes ont été interpellés et placés en garde à vue au commissariat de Conflans-Sainte-Honorine.
Les forces de l’ordre comptent six blessés dans leurs rangs par des pierres ou des coups. Le chef d’état-major le la police des Yvelines, Yannick Gomez, assure que toute la lumière sera faite sur cette affaire qui sera traitée avec le plus grand sérieux.
Le Parisien


Pour les “jeunes” des Yvelines, la chronologie des faits serait bien différente. Les policiers auraient pris à partie les habitants du quartier alors qu’ils sortaient de la mosquée.

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