Le droit pénal suisse n’est pas assez strict, estiment plusieurs politiciens. «Les délinquants sont de plus en plus jeunes et violents. L’Etat doit faire en sorte que des personnes présentant un fort risque de récidive ne puisse pas être libérées», affirme Natalie Rickli (ZH/UDC).
Martin Killias, expert en droit pénal, est du même avis. Les deux plaident pour des sanctions plus sévères à l’égard des mineurs. Selon eux, les peines prononcées à l’encontre des jeunes délinquants en Suisse sont «extrêmement courtes» par rapport aux autres pays européens.
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