[extraits] «La Princesse Nina» aborde les questions de genre et d’orientation sexuelle à travers une jeune fille qui éconduit tous ses prétendants, jusqu’à rencontrer sa princesse charmante.
La Princesse Nina est l’histoire d’une jeune fille qui est «intelligente, gentille et un peu sauvage». Problème, pour ses parents qui l’aiment de tout leur cœur, elle ne veut pas se marier. Les princes défilent et elles les refusent tous. [Orthographe d’origine][Corrigé : elle les refuse]
Même le prince Azim du Yémen, pourtant parfait en tous points, elle le refuse.
Mais lorsqu’elle rencontre la princesse Melowo du Ghana, elles deviennent inséparables.
Publié par l’éditeur belge Clavis, l’ouvrage de Marlise Achterbergh et Iris Compiet a été récompensé par le concours d’histoires pour enfants d’Inclusive Works, du FEBE Support, un organisme hollandais, et du British Council.
«Dès le plus jeune âge, les filles et les garçons sont confrontés à des stéréotypes, et ceux-ci sont également présents dans les livres pour enfants, explique le FEBE Support en page de garde. Le but de ce livre est de faire en sorte qu’ils puissent assumer leurs propres choix plus tard.»
(….) On a compris et on est d’accord : tout le monde peut s’aimer quelles que soient son origine ethnique et son orientation sexuelle. Le message est important, peut-être peut-il être dit avec un peu plus de finesse.
Libération