Non, Libé n’est pas sauvé !”, tiennent à faire savoir les représentants des salariés, qui ont convié la presse au siège du journal, lundi 31 mars. Pour eux, la “communication” de l’actionnaire Bruno Ledoux qui a assuré, vendredi, être prêt à investir 18 millions d’euros dans l’entreprise, s’apparente à du vent. (…)
“Même s’ils trouvent de l’argent, ce n’est pas avec eux qu’on pourra construire un projet éditorial de façon intelligente”, lâche un représentant.
Lire l’articleLe Monde via Les Observateurs