Renaud Camus a été condamné à 4.000 euros d’amende pour « provocation à la haine raciale ».
« Savoir si j’ai raison ou tort, si ce que je dis est la vérité ou pas, dépend du système judiciaire. Or, ce système fait partie intégrante du système général, de ce que j’appelle le pouvoir remplaciste. Il est mon adversaire, je suis le sien. Il me jugera et rejugera comme tel.
(…) Je veux bien être condamné pour avoir dit et pensé que nous sommes colonisés, que les indigènes de France et d’Europe sont les victimes d’un Grand Remplacement, que ce que certains appellent la racaille — et moi les nocents, les voyous, en somme —sont le bras armé de la conquête que nous subissons.
(…) Mon discours tient en trois mots : auprès du changement de peuple et de civilisation, les autres problèmes ne sont pas rien mais ils sont secondaires, car l’histoire qui se continuerait ne serait plus la nôtre. Il faut tout faire pour mettre d’urgence un terme au Grand Remplacement. Ce message est la simplicité même : je ne vois pas en quoi il pourrait être adapté.
Lire l’article intégral sur Boulevard Voltaire