voir également l’article de FDS :
Aymeric Caron censuré sur France2 pour avoir critiqué Israël (vidéo)
Natacha Polony : “sur les 29 impliqués (…) tous se disent musulmans (…) dont 8 convertis”
Alexandre Arcady : “dans toutes les écoles publiques de la Seine-Saint-Denis il n’y a plus un seul élève de confession juive”
Franz-Olivier Giesbert : “Cet antisémitisme là (…) ça montre à tous que le nazisme est possible”
lien direct sur : VK
source : compilation de On n’est pas couché – France 2 – 26 avril 2014
Une projection privée du film d’Alexandre Arcady a été organisée début avril 2014 à l’Elysée en présence de François Hollande et de l’équipe du film.
source : Allociné
« La mort d’Ilan, le premier jeune juif à avoir été tué en France depuis la Shoah, est un événement qui m’a meurtri, comme il a meurtri beaucoup d’entre nous. Ce crime antisémite n’était pas un fait divers, mais un phénomène de société grave », explique le réalisateur.
source : infrarouge
Ilan Halimi: deux films pour retracer la terrible affaire
Richard Berry et Alexandre Arcady réalisent chacun un long-métrage qui retrace l’effroyable crime racial dont le jeune juif avait été victime, et qui avait ému la France entière en 2006.
Il arrive qu’un seul film ne suffise pas à raconter une histoire. (…) D’un côté, Richard Berry adapte le roman glacial de Morgan Sportès Tout, tout de suite. De l’autre, Alexandre Arcady transpose 24 jours, la vérité sur la mort d’Ilan Halimi, récit de Ruth Halimi, la mère de la victime. Faut-il prévoir, en salle, un affrontement frontal entre deux films rivaux? Apparemment non, d’après le Parisien Magazine qui a pu rencontrer les deux cinéastes.
«La décence nous interdit d’être en concurrence, vu la gravité du drame. À cause de l’universalité et de la portée du sujet -l’antisémitisme, la barbarie d’aujourd’hui -, il n’y a pas d’avidité de producteurs se disant “Il y a un coup à faire”», rassure Alain Goldman, qui a déjà déboursé six millions d’euros pour le film de Richard Berry. Il s’engage d’ailleurs à éviter un potentiel télescopage des films en salle. Un savoir-vivre suffisamment rare pour être signalé dans le septième art. (…)
source : Le Figaro