François Hollande a trouvé la clé pour faire repartir la croissance et faire baisser le chômage: po-si-ti-ver. Le chef de l’Etat, qui donnait une conférence de presse à la maison de la Chimie ce 28 avril, devant les préfets, a expliqué ce qui, selon lui, serait déterminant pour redresser le pays. Et cela tient dans une solution simple: une meilleure vision des Français pour leur pays.
En s’adressant aux préfets réunis devant lui, François Hollande conclut ainsi son discours :
Ce que je peux vous dire aussi, pour la relation que vous avez avec les partenaires que vous rencontrez sur vos territoires, c’est de dire du bien de la France, toujours du bien de la France.
François Hollande développe en s’adressant à une plus large partie de la population française :
Que ceux qui l’animent, les acteurs économiques et sociaux, de ceux qui la font vivre, les élus, les entreprises, qui créent de l’activité, les agriculteurs qui font en sorte que nous puissions avoir les paysages que nous connaissons: dites du bien de la France.
Parce que ce qui fait sans doute le problème de la France aujourd’hui, c’est qu’elle doute d’elle-même. C’est qu’elle s’interroge sur son avenir. Et c’est qu’elle doit d’abord pour être conquérante, être confiante.
Un peu plus tôt, François Hollande théorisait le “déclic” nécessaire au pays pour relancer la machine. Le président s’est, à cette occasion, fait légèrement autoritaire à l’égard des chefs d’entreprise :
Qu’est-ce qui va être le levier ? La psychologie. Est-ce qu’à un moment, les chefs d’entreprise, ceux qui décident, vont se mettre en mouvement ou vont rester en attente ? Ce qui va être déterminant avec le pacte, c’est de créer le déclic. Et c’est dans le moment que nous traversons que ce déclic doit se produire.
Le Lab