[extraits] Depuis 40 ans, les violences contre les personnes ne cessent d’augmenter, passant de 100.000 à 500.000 par an. Tous les plans annoncés, toutes les lois votées ont échoué à enrayer ce phénomène. Pour une raison simple : personne ne veut en analyser l’origine.
La délinquance n’est pas également répartie sur le territoire. Là où il y a sur-immigration, il y a sur-délinquance. Les trois quarts des bandes criminelles sont étrangères ; plus de 20 % des détenus sont de nationalité étrangère ; plus de 50 % sont musulmans ; moins d’une place de prison sur trois est occupée par un Français de souche.
La montée de la délinquance violente est donc la conséquence arithmétique de la poursuite de l’immigration et de son extension en provenance de nouvelles zones géographiques.
(…)
La construction de prisons n’a pas suivi la croissance de la population, encore moins celle des banlieues de l’immigration. Or, si la prison n’est pas la panacée, elle a au moins un mérite incontestable : elle réduit à zéro l’activité délinquante des détenus. Plus il y a de délinquants à l’ombre, moins il y en a dans la rue.
Arrêter la hausse de la délinquance violente est donc possible. Voici quelques remèdes simples :
– arrêter l’immigration
– engager une politique de remigration en commençant par l’expulsion des étrangers délinquants
– adapter le nombre de places de prison à l’évolution de la population délinquante.
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