On est loin, très loin, du discours antieuro, du retour à l’Etat fort et des mesures de protectionnisme dont parle en boucle sa fille dans cette campagne. « Avec lui au moins, on reste dans les fondamentaux. Heureusement qu’il est encore là ! » nargue un vieux sympathisant, pas vraiment « séduit par la nouvelle génération de cadres qui gravitent autour de Marine ». Ceux-là même qui envisagent, à terme, un changement de nom du parti.
Quand on lui parle du sujet, Jean-Marie Le Pen est d’ailleurs sur le point de fulminer : « J’y suis complètement hostile ! On ne demande pas à Lancel, Dior ou encore Moët & Chandon de changer de nom que je sache ! » […] Le Parisien