Jean-Yves Le Gallou revient sur cette affaire sur TV Libertés :
Un massacre. C’est au sacré que l’on vient d’attenter. C’est presqu’une profanation tant ces bornes sont symboliques.
Surtout l’année du Centenaire de la Grande Guerre.
Derrière ces blocs de béton rouge et blanc surmontés d’un casque de bronze orné d’une couronne de laurier se cache toute la souffrance des soldats de la Bataille de Verdun. Par-delà l’asphalte et la circulation routière, on sent encore la poudre des combats, la sueur des combattants montants au front et le sang de ceux qui revenaient de l’enfer. On entend encore le bruit des moteurs des camions amenant hommes, munitions et matériels. C’est grâce çà ce cordon ombilical tendu entre l’arrière et l’enfer que Verdun a tenu.
Hier, c’était la stupeur.
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Merci à Mielrubis