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La semaine dernière, la justice a prolongé la détention provisoire des deux skinheads incarcérés après cette rixe tragique, qui avait provoqué une grande émotion.

 
(…) Cet après-midi du 5 juin 2013, rue Caumartin, dans le quartier Saint-Lazare, Esteban Morillo et Clément Méric ne sont pas encore là quand leurs camarades respectifs se croisent dans une vente privée de vêtements. Selon des témoins, les premières invectives viennent des étudiants d’extrême-gauche, qui disent avoir vu les skins ranger des poings américains.
«On vous attend à dix en bas (…) il va falloir courir», aurait dit l’un d’eux. Seul Clément Méric les rejoindra.
De leur côté, les skins, décrits comme «inquiets», appellent Esteban Morillo. Le jeune homme de 21 ans prévient sa compagne, Katia. Elle téléphone à son tour à deux autres amis. D’abord poursuivie pour complicité, la jeune femme a obtenu l’annulation de sa mise en examen par la cour d’appel de Paris, qui a souligné son «inquiétude légitime».
L’un des vigiles de la vente demande aux antifascistes de partir, mais ces derniers restent près de l’église Saint-Louis d’Antin. Des témoins décrivent un Clément Méric virulent.
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Merci à antibarbare

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