Fdesouche

Railleries, insultes, harcèlement en classe, sept ados sur dix se disent préoccupés par la violence à l’école. Selon les chiffres de l’étude annuelle d’Ipsos pour la fondation Pfizer, révélée mercredi par Europe 1, ils sont même un tiers à dénoncer un mal-être en général.

On ne parle jamais à nos parents de choses comme ça parce qu’on en a honte

Ils sont donc nombreux à s’interroger sur la violence à l’école.On ne parle jamais à nos parents de choses comme ça parce qu’on en a honte, témoigne Clara, une collégienne. Savoir qu’on se moque de nous, ce n’est pas quelque chose qu’on va dire haut et fort. C’est très dur parfois quand on est sujet de moquerie.
Les ados déclarent à 60% n’avoir jamais eu d’information sur le sujet selon l’étude.
Paradoxalement, les sujets qui pourraient plus inquiéter les parents, comme la drogue, l’alcool ou le tabac, ne préoccupent pas plus que ça les adolescents. Ils se considèrent sur-informés sur ces sujets-là.
Europe1

Fdesouche sur les réseaux sociaux