Addendum du 14/06/14 : Photo et renseignements sur le violeur en fuite
Individu « dangereux, violeur et pédophile ». Le mandat d’arrêt délivré jeudi par un juge de l’application des peines près le tribunal de grande instance de Nancy à l’encontre de Jean-Luc Moindrot, fait froid dans le dos.
Originaire de Gien, dans le Loiret, cet homme de 48 ans condamné plusieurs fois pour viols, a sectionné, jeudi à 7 h 30, le bracelet électronique de surveillance qu’il portait à la cheville. Le mouchard a été retrouvé au sol, à proximité du domicile nancéien que le quadragénaire occupait au centre-ville, quartier Sainte-Catherine, avec un colocataire.
Jean Luc Moindrot, un homme au cheveux chatains tirant vers le gris, mesurant 1m80 et pesant environ 74 kg, pourrait circuler dans une Opel Vectra immatriculée CZ-257-VJ de couleur gris clair. Le parquet donne également la marche à suivre dans le cas d’une localisation du fugitif : “n’intervenez pas vous même, mais avisez immédiatement la gendarmerie ou la police la plus proche”.
Un violeur récidiviste de 38 ans, qui effectuait sa fin de peine avec un bracelet électronique à son domicile de Nancy (Meurthe-et-Moselle), est en fuite depuis jeudi matin après avoir cassé son appareil de surveillance.
Le fuyard avait été condamné une première fois en 1991 pour viols, puis à nouveau en 2001 par la cour d’assises de l’Yonne pour viol avec menace ou usage d’une arme. Il avait alors été condamné à une peine de 20 années de réclusion criminelle, assortie d’une peine de sûreté des deux tiers.
Cet ancien détenu avait été placé sous surveillance judiciaire en décembre 2013 sur décision du juge d’application des peines, a expliqué le procureur de Nancy, Thomas Pison.
Selon les informations de l’Est Républicain, «l’homme qui reste considéré comme dangereux, présente également un profil pédophile». […]