Pour les adultes, c’est devenu l’une des boissons star de l’été. En 20 ans, notre consommation de rosé a été multipliée par deux. Frais et festif, ce vin a aussi le mérite d’être bon marché: 60% des rosés vendus en grande surface coûtent moins de trois euros la bouteille.
Capital a suivi ces négociants qui rachètent le vin dans des coopératives pour vous le revendre ensuite. Entre temps, ils travaillent sur sa couleur, la forme des bouteilles et les étiquettes. Le boum des rosés premier prix est aussi dû à l’énorme succès du cubi nouvelle génération : le « bag in box » qui assure le tiers des ventes. Enquête sur ce vin populaire qui envahit nos tables l’été.