Les classes sociales se mélangent peu dans les lycées franciliens, encore moins dans les établissements parisiens, selon une étude dévoilée par Le Monde.
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(…) Résultats de cette enquête révélée par Le Mondemardi: dans la capitale, qui compte 73 lycées généraux, 50 % des élèves les plus favorisés sont scolarisés avec seulement 3 % des élèves les moins favorisés alors que ces derniers représentent 17 % de la «population scolaire» parisienne. A l’inverse, dans l’académie de Créteil, la moitié des lycéens fils de chômeurs et d’inactifs n’ont été mélangés qu’à 11 % de fils de cadres supérieurs et d’enseignants.
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Le Figaro